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Je ne sais pas si, comme moi, vous avez déjà eu la sensation de rentrer dans un décor. Non, pas partir dans le décor comme ça m’est arrivé plusieurs fois depuis que mes instructeurs d’autoécole m’ont jugé apte à la conduite accompagnée, mais rentrer à l’intérieur d’un décor. Eh bien c’est exactement ce qui nous est arrivé le week-end dernier à Bornéo.
Mon baptême de plongée à Bali ne m’ayant pas sevré du monde aquatique et comme je n’ai pas Thalassa ici pour calmer ma soif de découvertes dans ce domaine, je suis parti avec mes deux compagnons d’aventure à l’extrême est de cette grosse île partagée entre la Malaisie, Brunei et l’Indonésie. Cap sur l’île de Sipadan, spot de plongée parmi les plus beaux du monde et accessoirement rendue célèbre en France par une prise d’otages en 2000 (vous vous rappelez, les otages de Jolo ?… et ben Jolo c’est aux Philippines, pas loin de là, et ces braves touristes c’est sur Sipadan qu’ils ont été enlevés. Je n’avais pas eu droit au tsunami à Phuket, je pouvais bien espérer une petite prise d’otages à Sipadan!)
Bref, grand plongeur devant l’éternel (à maximum 2 mètres en dessous du niveau de la mer, avec un tuba pour boire de l’eau salée par la bouche, un masque pour la boire par le nez et des palmes pour avoir une démarche élégante auprès de la faune sous-marine et risquer le ridicule à chaque barreau de l’échelle qui remonte au bateau, mais aussi pour permettre au soleil de laisser un bronzage de type"bermuda chaussettes remontées" sur mon verso...), j’ai dit banco !
Mon baptême de plongée à Bali ne m’ayant pas sevré du monde aquatique et comme je n’ai pas Thalassa ici pour calmer ma soif de découvertes dans ce domaine, je suis parti avec mes deux compagnons d’aventure à l’extrême est de cette grosse île partagée entre la Malaisie, Brunei et l’Indonésie. Cap sur l’île de Sipadan, spot de plongée parmi les plus beaux du monde et accessoirement rendue célèbre en France par une prise d’otages en 2000 (vous vous rappelez, les otages de Jolo ?… et ben Jolo c’est aux Philippines, pas loin de là, et ces braves touristes c’est sur Sipadan qu’ils ont été enlevés. Je n’avais pas eu droit au tsunami à Phuket, je pouvais bien espérer une petite prise d’otages à Sipadan!)
Bref, grand plongeur devant l’éternel (à maximum 2 mètres en dessous du niveau de la mer, avec un tuba pour boire de l’eau salée par la bouche, un masque pour la boire par le nez et des palmes pour avoir une démarche élégante auprès de la faune sous-marine et risquer le ridicule à chaque barreau de l’échelle qui remonte au bateau, mais aussi pour permettre au soleil de laisser un bronzage de type"bermuda chaussettes remontées" sur mon verso...), j’ai dit banco !
On m’avait promis des requins, des tortues, des coraux, j’en ai vu ! Mais on ne m’avait pas parlé des palmiers recourbés sur le blanc farineux des plages de cette île quasi déserte. On ne m’avait pas dit que je ne serai plus jamais capable de m’émerveiller sur les plages de l’Atlantique ou de la côte d’Azur…Seuls sur notre île déserte (je grossis un peu le trait mais à peine : quelques militaires peuplent l’île au cas où des gens de passage emportent un ou deux touristes par mégarde), on avait l’impression d’être dans un fond d’écran Microsoft… on n'aurait pas été surpris de tomber sur un curseur ou un sablier!