En comptant que je pars vendredi matin à Pulau Tioman (oui, c’est bien la seconde fois) pour un week-end avec toute la promo, et sachant que je vais sans doute (mais les choses peuvent encore changer au dernier moment !) rester à Singapour le week-end d’après, j’aurai fait en tout et pour tout 10 voyages au départ de Singapour (Bangkok, Thaïlande, KL-Cameron Highlands, Tioman, Vietnam, Koh Phi Phi, Bali, Bornéo, Redang, Tioman).
Entre le 4 janvier au soir et le 25 juin au matin, j’aurai pris 14 fois l’avion, (entre 50 et 60h de vol) et coché 5 pays (Myanmar, les Philippines, le Laos et le Cambodge manquent à mon tableau de chasse d’Asie du Sud Est… ah oui, et j’oubliais Brunei). Si l’on ajoute à cela 5 nuits dans le bus (à raison d’une moyenne de 10 h par nuit environ)… on peut dire que j’ai fait exploser en 6 mois mon compteur voyage.
Pourtant ce virus des voyages je ne l’ai jamais eu. En France, j’aime trop mes grasses mat’, ma liberté d’aller et venir dans un environnement que je connais, de faire le week-end tout ce que je n’ai pas eu le temps de faire la semaine… Ici c’est un fait, je suis contaminé. Oui, je sais ce que vous allez me dire, à voyager non protégé… Pourtant j’avais pris mes précautions : habiter très loin de l’aéroport, ne pas s’habituer à la nourriture asiatique, éviter de faire tout vaccin et d’acheter tout médicament qui permettrait de voyager dans des zones paludéennes, …et j’en passe. Rien n’y a fait.
J’ai été puni ce week-end. Pour notre trio désormais baptisé Wild Dogs (Flore, Steven et bibi) il était inconcevable de passer un week-end prolongé à Singapour. Jeudi matin nous réservions pour le soir même les dernières places dans un bus pour Pulau Redang (île de la côte est malaise). Le lendemain midi nous y arrivions pour constater que ce qui est inconcevable pour nous l’est aussi pour des centaines de familles malaises et singapouriennes. Le surlendemain midi nous nous apprêtions à passer 6h dans une gare routière à attendre le bus du retour. Soit pour résumer : 20h de bus pour environ 20h sur une île couverte de petits bonshommes orange fluo (couleur du gilet de sauvetage qui semble faire office de seconde peau aux familles de la région) dont 4h en tout et pour tout de soleil franc ! Bilan des courses ? Un week-end original (non, pas raté !) à snorkeler avec des bibendums orange, à jouer aux cartes le meilleur lit ou la meilleure place dans le bus, à apprendre la Macarena à des malais bouillants et à essayer de réfléchir aux avantages et inconvénients de ce concept de vacances ‘au pied levé’ !
Entre le 4 janvier au soir et le 25 juin au matin, j’aurai pris 14 fois l’avion, (entre 50 et 60h de vol) et coché 5 pays (Myanmar, les Philippines, le Laos et le Cambodge manquent à mon tableau de chasse d’Asie du Sud Est… ah oui, et j’oubliais Brunei). Si l’on ajoute à cela 5 nuits dans le bus (à raison d’une moyenne de 10 h par nuit environ)… on peut dire que j’ai fait exploser en 6 mois mon compteur voyage.
Pourtant ce virus des voyages je ne l’ai jamais eu. En France, j’aime trop mes grasses mat’, ma liberté d’aller et venir dans un environnement que je connais, de faire le week-end tout ce que je n’ai pas eu le temps de faire la semaine… Ici c’est un fait, je suis contaminé. Oui, je sais ce que vous allez me dire, à voyager non protégé… Pourtant j’avais pris mes précautions : habiter très loin de l’aéroport, ne pas s’habituer à la nourriture asiatique, éviter de faire tout vaccin et d’acheter tout médicament qui permettrait de voyager dans des zones paludéennes, …et j’en passe. Rien n’y a fait.
J’ai été puni ce week-end. Pour notre trio désormais baptisé Wild Dogs (Flore, Steven et bibi) il était inconcevable de passer un week-end prolongé à Singapour. Jeudi matin nous réservions pour le soir même les dernières places dans un bus pour Pulau Redang (île de la côte est malaise). Le lendemain midi nous y arrivions pour constater que ce qui est inconcevable pour nous l’est aussi pour des centaines de familles malaises et singapouriennes. Le surlendemain midi nous nous apprêtions à passer 6h dans une gare routière à attendre le bus du retour. Soit pour résumer : 20h de bus pour environ 20h sur une île couverte de petits bonshommes orange fluo (couleur du gilet de sauvetage qui semble faire office de seconde peau aux familles de la région) dont 4h en tout et pour tout de soleil franc ! Bilan des courses ? Un week-end original (non, pas raté !) à snorkeler avec des bibendums orange, à jouer aux cartes le meilleur lit ou la meilleure place dans le bus, à apprendre la Macarena à des malais bouillants et à essayer de réfléchir aux avantages et inconvénients de ce concept de vacances ‘au pied levé’ !
1 commentaire:
Oserais-je dire que mon seul regret est de ne pas avoir été "stuck overnight in Kuala Teranganu"? Non, je risquerais de me faire engueuler...
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